La droite européenne a son modèle : l’Allemagne. Angela Merkel sort confortée des élections de dimanche. Après deux mandats, elle fait progresser fortement la CDU-CSU. Le paradoxe de sa démonstration est qu’il s’agit d’une exception allemande non exportable. Ailleurs, les politiques austéritaires imposées par la chancelière créent à ses propres collègues conservateurs les pires difficultés. En Espagne et en Grèce, les amis politiques de Merkel sont dans la panade et pestent contre l’intransigeance de leur mentor. Quant à Sarkozy, il s’est fait congédier après un mandat. Seuls les médiacrates qui échappent à la sanction du suffrage universel peuvent continuer sans dommages à vanter le
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