Crédit photo photosdegauche.fr (michel_soudais) Marie Batoux et Corinne Morel Darleux, du Parti de gauche, soulignent l’incohérence, selon elles, des décisions prises à Bruxelles, qui autorise l’Etat français à aider la filiale du groupe Vinci en charge de Notre-Dame-des Landes, mais pas la SNCM, qui assure le service public de transport entre la Corse et le continent.
A Bruxelles, la concurrence est libre et non faussée… Enfin, ça dépend des fois. C’est ainsi qu’on apprend que la Commission européenne vient d’autoriser l’État français à verser 150 millions d’euros à la filiale de Vinci en charge de la réalisation de l’aéroport de Notre-Dame-des-Landes, et dans le même temps qu’elle réclame en tout 440 millions d’euros à la SNCM pour remboursement d’aides du même État.
Voilà qui a de quoi étonner. D’un côté, le groupe Vinci, qui en 2011 affichait 1,9 milliard de résultat net. De l’autre, la SNCM, compagnie d’utilité publique, dont le chiffre d’affaires annuel n’atteint pas le seuil des 440 millions que lui réclame aujourd’hui la Commission européenne !
Pour que la SNCM redevienne un service public, il faut désobéir à l’Union
Celle-ci s’appuie, pour réclamer cette somme à la SNCM, sur la requalification en aides d’État de la recapitalisation au moment de la vente. La Commission européenne justifie ainsi la décision :
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