En février 1933, un fait divers sans précédent éclate dans la bonne société du Mans. Deux domestiques, Christine Papin et sa sœur Léa, assassinent leurs patronnes, Germaine Lancelin et sa fille Geneviève. Sauvagerie, violence, atrocité, barbarie. Les mots se bousculent dans la presse. Les coupables avouent. Oui, elles ont tué. Oui, elles se sont acharnées sur les corps. Oui, elles ont nettoyé la maison après le crime. Parce que c’est ainsi qu’on fait. Parce que c’est leur travail, après tout. Il faut que tout soit

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