Tout le monde s’en souvient, ou presque. Nous étions en plein milieu de l’automne 2012. La saison où les nuits deviennent moins longues que les jours, la saison où les fleurs se fanent, où les paysages s’assombrissent. C’est la saison précise que les principaux patrons de France choisissent pour porter une attaque en règle contre le monde du travail, une offensive massive en faveur des intérêts du CAC 40 dont ils sont à la fois les bénéficiaires, mais également les serviteurs. Ils en vivent et doivent le faire vivre. Tel est leur rôle de patrons désormais gestionnaires de rendement et non plus de créateurs d’activité. Leur arme, une simple lettre de 2 pages, rédigée autour de 3 idées. D’ores et déjà, François Hollande a mis les deux genoux à terre en accédant aux 2 premières exigences du CAC 40. Mettra-t-il face à terre en cédant sur la 3e exigence?Acte I : l’allègement des cotisations sociales.La première des exigences des 98 patrons les plus puissants de France était banale et récurrente. Réduire le montant des cotisations sociales des entreprises au motif que le niveau
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