Crédit photo photosdegauche.fr (Michel Soudais)
Mardi dernier à l’Assemblée nationale, Manuel Valls a été mauvais. Il a resservi le même mauvais disque qu’à l’université de La Rochelle, mais celui-ci est désormais rayé. Les envolées se veulent lyriques, elles ne sont plus que grandiloquentes. Il pense incarner la fermeté, n’apparaît plus que l’entêtement obtus. La machine tourne à vide et les ficelles des communicants qui travaillent derrière lui sont de plus en plus visibles. Ainsi la méthode consiste à revendiquer la défense de notions et de valeurs qu’il s’ingénie à détruire par sa politique : l’investissement, les entreprises, le travail, l’égalité, la nation, l’activité économique, etc. Sans oublier ses appels vibrants à la République qu’il confirme pourtant vouloir défigurer avec une réforme territoriale véritable usine à gaz et à inégalités… Il se rêve en Clémenceau, il en est sa rature.
Parce qu’il n’a pas obtenu la majorité absolue, parce qu’il n’en conserve malgré tout une que par l’appui des radicaux de gauche, Manuel Valls est ressorti affaibli du vote de confiance. Pourtant, le soir sur TF1, il pouvait affirmer :
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