La grève à la SNCF est la plus forte depuis 2010. Un véritable coup de semonce pour le gouvernement. Elle marque une étape importante pour le mouvement social. C’est en effet pour l’idée même que l’on se fait du service public et de l’intérêt général que les cheminots se sont mobilisés. L’objectif était de résister au rouleau compresseur libéral et d’empêcher la privatisation du dernier grand service public. EDF, GDF, France Télécom, La Poste… à chaque fois il s’agit de transformer des entreprises publiques en entreprises à caractère privé. A chaque fois on peut y voir la main de Bruxelles et les directives libérales de sa commission.
C’est pour cela que le combat à la SNCF est un combat d’intérêt général. Il ne s’agit pas d’intérêts catégoriels ici mais de ce que l’on veut pour notre pays en termes d’aménagement du territoire et de transports.
Habile, le gouvernement a maquillé les véritables intentions de ce projet de loi derrière un tour de passe-passe sémantique qui a rendu la lecture du mouvement de grève malaisée par les citoyens. Le niveau de désinformation a atteint des sommets, du fait d’une presse paresseuse, se contentant de la communication gouvernementale sur la
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