Le Parti de Gauche condamne la répression massive perpétrée le 14 août par l’armée égyptienne contre les partisans civils de l’ancien président déchu, Mohammed Morsi. Le bilan de ce bain de sang s’élève pour l’heure à plusieurs centaines de morts, parmi lesquels femmes et enfants. La répression a été condamnée internationalement, notamment par l’Équateur qui a rappelé son ambassadeur au Caire. Ce choix de l’éradication des partisans de Morsi, qu’ils soient pacifiques ou non, va enfermer l’Égypte dans un duel mortifère entre armée et Frères musulmans, soutenus alternativement par les États-Unis, soucieux de ne pas laisser émerger de force susceptible de dénoncer le compromis passé depuis trente ans pour garantir leurs intérêts et ceux d’Israël.
Il ne faut pas être naïf sur la volonté des Frères musulmans de se poser en martyrs pour faire avancer leurs idées intégristes. Le PG dénonce leur volonté d’instrumentaliser les clivages confessionnels en inspirant d’inacceptables attaques contre des églises coptes. Pour autant le visage donné par l’armée égyptienne n’est pas celui d’une force garante des institutions et de la sécurité. En rétablissant l’état d’urgence et en taxant toute forme d’opposition de déviance terroriste, ses dirigeants entendent avant tout préserver leurs intérêts en tant que détenteurs d’une large part des moyens de production. Déjà, le prétexte de la
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