La méthode de l’ancien premier ministre, Jean-Marc Ayrault, était devenue la marque de fabrique du gouvernement : aboutir nationalement à des accords avec le patronat et les syndicats les plus libéraux, pour ensuite les imposer à l’ensemble de la population après un débat parlementaire réduit à peau de chagrin. C’est ainsi que l’ANI, attaquant durement les droits des salariés et le code du travail, a été rapidement transcrit en loi malgré l’opposition de la CGT et de FO. C’est ainsi également que la réforme des retraites a pu être adoptée, avalisant la fin de la retraite à 60 ans, en rupture avec les promesses électorales de François Hollande. Ces reculs immenses ont été mis en musique médiatiquement autour de soi-disant contreparties données aux syndicats signataires des accords : une fausse limitation des temps partiels pour l’ANI et un compte pénibilité dérisoire pour la réforme des retraites. Ces accords réactionnaires sont ainsi devenus, dans la bulle médiatique, des accords
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